Fiche conseil
Les mouches des fruits sont parmi les plus importants ravageurs des cultures fruitières en Nouvelle-Calédonie. Parmi la quinzaine d'espèces présentes sur le territoire, quatre posent particulièrement des problèmes. Les moyens de lutte existent et bénéficient aux arboriculteurs ainsi qu'aux exportateurs de fruits.
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Les gastérophiles, Gasterophilus spp., sont des mouches dont les larves parasitent l'appareil digestif des équins.
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La mouche de la goyave Bactrocera psidii est un ravageur de la goyave mais aussi d'autres fruits.
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La lime de Tahiti est un citron vert très apprécié car il est un élément central de la cuisine calédonienne et plus largement, des plats exotiques. L'arbre, le limettier est facile à cultiver.
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La mouche du fruit à pain Bactrocera umbrosa est le principal ravageur des fruits des jackiers et des fruits de l'arbre à pain.
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Les pitayas ou fruits de dragon sont les gros fruits rouges désaltérants de cactacées. Très appréciés des consommateurs, leur culture est en plein essor dans les régions tropicales et subtropicales.
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Le papillon piqueur Eudocima phalonia est un redoutable ravageur des cultures fruitières et maraîchères en Nouvelle-Calédonie. Certaines années, il pullule et cause des dégâts considérables aux productions.
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Fruit du manguier, la mangue est un fruit tropical charnu et savoureux très apprécié. La culture du manguier est assez facile et les rendements sont élevés.
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La mouche du Queensland Bactrocera tryoni est le ravageur le plus important en Nouvelle-Calédonie.
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